Benoit Berger, Xavier Jeannerod (Areva T&D), Sr. Jeanne Semrami, Ahmad Saifeddine, Pascal Houssin

QUI SOMMES-NOUS ?

C’est au plus fort de la guerre civile de 1975-1990 que se constitue le Comité Amitié Liban Partage (CALP), dont le siège est à Garches, en Ile-de-France (Hauts-de-Seine). Une relation étroite se tisse avec des religieuses engagées dans l’action socio-éducative au Liban : les Franciscaines Missionnaires de Marie. Face aux besoins suscités par la guerre, la mobilisation du CALP va permettre de mener des opérations d’urgence humanitaire, telles que l’envoi de containers de médicaments ou de vêtements.

Au lendemain du conflit de l’été 2006 qui vit s’affronter le Hezbollah libanais à l’armée israélienne, les membres du CALP décident de réactiver l’association, en s’adjoignant de nouveaux membres actifs et en choisissant de centrer son action sur l’un des besoins les plus critiques : l’accès à l’éducation. L’organisation se dote de nouveaux statuts, et adopte un nouveau nom affichant clairement son objet : Action pour la Scolarisation des Enfants au Liban.

POURQUOI ASEL ?

Les conditions économiques au Liban se sont fortement dégradées au cours des dernières années, et particulièrement depuis la guerre de l’été 2006. L’espoir d’une reprise économique s’est évanoui. Les conditions de vie des Libanais se sont détériorées. Pour ceux dont la vie était déjà difficile, elle est devenue dramatique.

Les familles coupent dans leur dépenses pour ne garder que l’essentiel : se nourrir et un toit. Les dépenses en soins médicaux et scolarisation sont coupées, voire définitivement supprimées.

30% des enfants du Liban ne sont plus scolarisés après la 6ème. C’est une décision dramatique : c ‘est le point de départ d’une spirale descendante, qui entraîne les enfants dans l’errance, la rue et ses violences.

Un avenir meilleur passe par la scolarisation de TOUS les enfants. Une scolarisation attentive, continue, de qualité.

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